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Comment Grégoire allie l’apprentissage du code avec sa vie professionnelle

Ancien footballeur pour un club de national 1, Grégoire travaille désormais en tant que consultant pour le cabinet PwC. En parallèle de son emploi, il fait partie de la toute première promotion à temps partiel du Wagon Paris et suit la formation deux soirs par semaine et le samedi. Découvrez ses premières impressions.
Sommaire

Quel est ton parcours ?

Je m’appelle Grégoire, j’ai 28 ans, et je suis donc, depuis Septembre, étudiant au Wagon dans le batch 301, le premier batch à temps partiel en France. Avant cela, j’ai eu un parcours un peu décousu, puisque j’ai d’abord arrêté mes études à Assas en 2010 pour me consacrer au football, dans le club du Luzenac AP en National 1, entre 2010 et 2012.

N’ayant pas le talent pour aller plus haut, j’ai repris un parcours un peu plus traditionnel à 21 ans, avec un BTS dans la région de Toulouse. En 2014, je suis entré au Programme Grande Ecole de Toulouse Business School. Sorti diplômé en 2017, je suis entré dans l’univers du conseil, et donc actuellement, en parallèle du Wagon, je travaille pour le cabinet PwC au sein du « Consulting FS » (Financial Services), dans l’accompagnement d’une grande banque française.
 

Pourquoi as-tu décidé de rejoindre le batch à temps partiel du Wagon ?

J’avais entendu parler du Wagon par plusieurs amis d’école et une collègue de PwC qui avaient fait le bootcamp ici à Paris et à Montréal. Leurs retours étaient très positifs, notamment sur l’expérience humaine, et bien sûr, sur le contenu du programme.

Et puis au mois de juillet, je suis passé sur le site du Wagon, et je suis tombé sur ces quatre mots providentiels : « Part-Time Fullstack Bootcamp ». Un peu comme quand, affamé à 2h du matin, tu tombes sur un « M » jaune sorti de nulle part !

A côté de ça, je tanne depuis des années quelques potes pour qu’on monte une boîte ensemble, et à chaque fois, globalement, on se rend compte que ce n’est pas si simple, surtout sur les projets tech, donc statut quo. Apprendre à coder, c’est un bon moyen de s’enlever une excuse.

Et puis au mois de juillet, je suis passé sur le site du Wagon, et je suis tombé sur ces quatre mots providentiels : « Part-Time Fullstack Bootcamp ». Un peu comme quand, affamé à 2h du matin, tu tombes sur un « M » jaune sorti de nulle part !

En 5 minutes la décision était prise, en 15 jours l’inscription bouclée, et puis on réfléchira après les vacances afin de savoir comment s’organiser pour tout gérer en même temps.

Que penses-tu de la formation et de ton expérience au Wagon ?


Globalement j’en suis très satisfait. Il y a un peu de frustration à voir les batchs à temps plein commencer 2 semaines après nous et finir 3 mois avant, mais petit à petit, on sent qu’on avance, et ça fait du bien. Et puis en voyant ce que certains arrivent déjà à faire, je suis vraiment impressionné !

Plus en détails, c’est dans l’ADN du Wagon de parvenir à mettre une bonne ambiance, que ce soit avec les afterworks tous les samedis, ou encore avec la soirée de mid-batch qui était un vrai régal aussi, donc l’ambiance du Wagon est vraiment au top. Et au pire, si vraiment t’as passé une journée moyenne, un petit rire d’Edouard, le community manager du Wagon, et c’est reparti. 
Les membres du batch à temps partiel du Wagon Paris


Au sein du batch, c’est vraiment sympa aussi, même si on se voit moins souvent par rapport aux étudiants de la promotion full-time, et qu’à 21h30, tu as plus de détermination pour rentrer chez toi que pour prolonger le plaisir autour d’une bière. Mais dans chaque groupe, on trouve l’ambiance que l’on amène, et quand je vois que certains doivent faire 1h30 ou plus de transports pour rentrer chez eux, et qu’ils sont là tous les soirs et tous les samedis avec le sourire, je me dis qu’on est vraiment un très bon groupe !

Le système de buddy qui change à chaque session de cours nous permet de rencontrer tout le monde, de travailler avec des personnes aux profils variés.

Il y a des affinités naturelles qui se créent bien sûr, et j’espère qu’on les maintiendra après le Wagon. Le système de buddy qui change à chaque session de cours nous permet de rencontrer tout le monde, de travailler avec des personnes aux profils variés qui ont des expériences différentes, des approches différentes, et un niveau de compréhension et d’appréhension des problèmes différents. C’est très enrichissant aussi ! 

Enfin concernant les événements, il y a également les talks du Wagon les mercredis. Je n’ai pas suffisamment eu l’occasion de m’y rendre, mais heureusement, ils sont enregistrés puis diffusé dans un podcast qui permet de rattraper le coup. C’est toujours très intéressant d’entendre l’histoire, voire l’aventure, d’entrepreneurs. C’est inspirant et motivant. D’autant plus quand on peut les rencontrer directement au Wagon.

Comment t'organises-tu au quotidien ?

La question qui tue ! C’est simple, on a commencé il y a trois mois, donc ça fait trois mois que je n’ai vu ni mes potes ni ma famille. Ma mère ne sait même plus comment je m’appelle…

Non plus sérieusement, c’est dur, clairement. C’est un peu la course en permanence pour garder le rythme. J’essaie de regarder les vidéos des cours le matin dans les transports en allant au travail, en mode accéléré, et de compléter sur les pauses déjeuner pour être à jour en arrivant au Wagon.

Je manque un peu de volonté ceci dit pour faire « des extras » sur mon temps libre, en cherchant à aller plus loin ou même à refaire les exercices. Le niveau de fatigue commence vraiment à se faire sentir, mais bon, c’est une décision qu’on ne m’a pas forcé à prendre, donc je tente de l’assumer au maximum.

Que souhaites-tu faire après Le Wagon ? 

Je n’ai pas de certitude quant à ce qu’il se passera après. L’univers start-up m’attire, le milieu du sport aussi, donc l’idée de combiner les deux me plairait pas mal, mais je n’ai pas pris de décision quant au prisme par lequel je voudrais attaquer la chose (product management,  conseil auprès des start-ups, entrepreneuriat, etc.).

Ce qui est sûr, c’est qu’il faudra tout faire pour maintenir les acquis de la formation, donc trouver un moyen de coder au maximum. J’ai promis à ma mère de faire son site internet pour l’activité de réflexologie plantaire qu’elle démarre, ce sera l’occasion de lui rappeler mon prénom. Sinon, avec mes acolytes de projet de fin de Wagon Alex et Kévin, nous allons travailler sur une appli mêlant sport et tech, donc pourquoi pas poursuivre un peu en side project et voir ce que cela donnera !

Quels conseils donnerais-tu aux personnes qui souhaitent se lancer dans cette formation ? 

Foncez si vous avez envie de le faire ! Foncez d’autant plus si vous estimez que vous avez un peu de temps disponible pour suivre les cours tranquillement dans la semaine. Enfin, foncez clairement si vous avez la conviction que le code vous aidera à avancer.

Si, comme c’est généralement le cas, vous ne pouvez pas vous arrêter de travailler pendant trois mois, alors le temps partiel est une superbe opportunité !

Il y a suffisamment de ressources mises à disposition pour en sortir avec de vrais acquis, et le temps partiel présente en plus l’intérêt de laisser suffisamment de temps pour « digérer » les notions.

Malgré cela, je dirais que, idéalement, si vous en avez la possibilité, autant le faire en full-time. Mais si, comme c’est généralement le cas, vous ne pouvez pas vous arrêter de travailler pendant trois mois, alors le temps partiel est une superbe opportunité !

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